• A Paris
    Quand un amour fleurit
    Ça fait pendant des semaines
    Deux cœurs qui se sourient
    Tout ça parce qu’ils s’aiment
    A Paris
    Au printemps
    Sur les toits les girouettes
    Tournent et font les coquettes
    Avec le premier vent
    Qui passe indifférent, nonchalant
    Car le vent
    Quand il vient à Paris
    N’a plus qu’un seul souci
    C’est d’aller musarder
    Dans tous les beaux quartiers
    De Paris
    Le soleil
    Qui est son vieux copain
    Est aussi de la fête
    Et comme deux collégiens
    Ils s’en vont en goguette
    Dans Paris
    Et la main dans la main
    Ils vous regardant en chemin
    Si Paris a changé.

    Francis Lemarque

    La fin de la journée...


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  • Très bonne journée à vous mes ami(es)
    Gros bisous

    La fin de la journée...


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  • Heureux l'homme occupé
    Heureux l'homme, occupé de l'éternel destin,
    Qui, tel qu'un voyageur qui part de grand matin,
    Se réveille, l'esprit rempli de rêverie,
    Et, dès l'aube du jour, se met à lire et prie !
    A mesure qu'il lit, le jour vient lentement
    Et se fait dans son âme ainsi qu'au firmament.
    Il voit distinctement, à cette clarté blême,
    Des choses dans sa chambre et d'autres en lui-même ;
    Tout dort dans la maison; il est seul, il le croit ;
    Et, cependant, fermant leur bouche de leur doigt,
    Derrière lui, tandis que l'extase l'enivre,
    Les anges souriants se penchent sur son livre.

    Victor Hugo

    La fin de la journée...


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  •  Je me relaxe par le soleil levant
    Je me relaxe par le soleil levant
    Et je vis par la pureté de l’aurore,
    Je ne suis ni fort ni impuissant
    Mais je m’emporte en météores
    Aériens vers un monde apaisant
    Où les êtres vivent avec amour.
    Avec un destin ondulant
    Telles les eaux d’une mer agitée
    Je me bats contre les incessants
    Chaos qui troublent la sérénité
    D’une âme désireuse d’évasion
    En quête d’immortalité.
    De plus en plus, le ciel pâlit,
    La vie se durcit, l’esprit du démon
    Met les hommes en furie
    La terre semble être la prison
    Qui éteint le souffle de la vie
    En noircissant l’horizon.
    Je me repose dans mon asile
    Où je découvre la fraîcheur secrète
    Et la beauté d’un mois d’avril
    Qui fait chanter les alouettes
    En me mettant hors du péril
    Des confusions lestes.

    Dad  Allaoua

    La fin de la journée...


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