Ce n'est  toujours pas votre amie Annie ou Ninie28

mais son amie Annie62

Elle est dans un autre hôpital pour surveiller un nouveau traitement

et sera de retour soit en fin de semaine ou en début de semaine prochaine

Voilà les nouvelles

Elle pense bien à vous

Annie62 pour Ninie28

Bonjour mes ami(es)

Voici mon tout doucement mon retour sur mon blog, après 2 mois d'absence. Tout d'abord merci mille fille fois et du fond du coeur à mon amie Annie 62, qui c'est occupée de mon blog, amie plus que virtuelle et sincère dont je suis fière de connaître, une magnifique amitiée est née, alors encore merci ma ninie, sans oublier la superbe déco, j'adoreeee. Merci aussi aux personnes qui ont pris de mes nouvelles, ça me touche vraiment, car je vois que j'étais pas oubliée, merci du fond du coeur à vous. Heureuse de vous revoir, je vous embrasse très,très fort et je répondrais à vos com's. Annie

Votre amitié

Chaque matin je viendrai vous saluer et dire bonjour.

Je serai là chaque nuit vous souhaiter agréable soir.

Votre amitié me fait plaisir, elle redonne de l’espoir.

Je me réjouis de votre compagnie et de vos sourires.

Je viens m’embaumer de votre parfum et me rafraichir.

vous faire un doux câlin pour vous exprimer mon désir.

Me délecter de la lecture des écrits qui sont beaux à ravir.

Je viens vous confier ma mélancolie et ma joie avec plaisir.

Soyez gentils et lisez mes écrits qui proviennent du cœur.      

A travers mes modestes rimes ne sentez-vous pas ma chaleur.

Parfois  tristes, parfois humoristique ça dépend de l’humeur.

Je me laisse bercer par vos poèmes qui me baignent de bonheur.

Heureux que vous partagiez ma joie, mes ennuis et mes soupirs.

Votre amitié me donne la force, votre nonchalance peut m’affaiblir.

je ne serai ingrat envers cet amour, cette source qui ne peut tarir.

Je souhaite que notre amitié ne soit pas un jour un simple souvenir.

Octobre est doux

Octobre est doux. — L'hiver pèlerin s'achemine

Au ciel où la dernière hirondelle s'étonne.

Rêvons... le feu s'allume et la bise chantonne.

Rêvons... le feu s'endort sous sa cendre d'hermine.

L'abat-jour transparent de rose s'illumine.

La vitre est noire sous l'averse monotone.

Oh ! le doux « remembre » en la chambre d'automne,

Où des trumeaux défunts l'âme se dissémine.

La ville est loin. Plus rien qu'un bruit sourd de voitures

Qui meurt, mélancolique, aux plis lourds des tentures...

Formons des rêves fins sur des miniatures.

Vers de mauves lointains d'une douceur fanée

Mon âme s'est perdue ; et l'Heure enrubannée

Sonne cent ans à la pendule surannée...