• Je viens vous souhaiter une bonne journée à tous
    Gros bisous


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  •  Septembre que j'affectionne (la ronde des mois)
    Septembre se nomme, le Mai de l'automne
    Et ce n'est pas sans raison que je l'affectionne.
    La température s'adoucit, dans nos contrées
    Pour permettre à l'automne de faire son entrée
    Dans un étalage de couleurs dorées et chaudes
    Afin d'envoyer l'été bouler, d'une chiquenaude.
    La pluie bénéfique refait son apparition,
    Rafraîchissante. Véritable bénédiction.
    On a l'impression, que la nature en souffrance
    Avant de s'endormir ramène l'abondance
    En ajoutant diverses touches de vert,
    Dans les prés et les vallons, avant l'hiver.
    Et, les grappes de raisin sur les ceps de vigne,
    Arrivées à maturité, restent le signe
    Que l'heure des vendanges vient de sonner
    Et qu'elles sont, enfin prêtes à se donner.
    Septembre se nomme, le Mai de l'automne
    Et ce n'est pas sans raison que je l'affectionne.

    Dominique Sagne


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  • À Paris au mois d'août
    Quand pour la première fois je fus amoureux d'Eve
    Que j'ai pu me frotter au bûcher de ses lèvres
    Mon cœur s'est enflammé ainsi qu'une allumette
    J'étais son Roméo elle était ma Juliette.
    Étroitement serrés au sein du même rêve
    Nos deux corps enlacés étaient brûlant de fièvre
    Nous étions seuls sur terre dans ce monde un peu fou
    Comme des étrangers à Paris au mois d'août.

    Alain Hannecart


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  • Très bonne journée à vous mes ami(es)
    Gros bisous


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  • La musique
    La musique souvent me prend comme une mer !
    Vers ma pâle étoile,
    Sous un plafond de brume ou dans un vaste éther,
    Je mets à la voile ;
    La poitrine en avant et les poumons gonflés
    Comme de la toile,
    J'escalade le dos des flots amoncelés
    Que la nuit me voile ;
    Je sens vibrer en moi toutes les passions
    D'un vaisseau qui souffre ;
    Le bon vent, la tempête et ses convulsions
    Sur l'immense gouffre
    Me bercent. D'autres fois, calme plat, grand miroir
    De mon désespoir!

    Charles Baudelaire


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